Beaucoup
de femmes nigériennes sont victimes de
violence. Les violences sont presque toujours présentées comme une fatalité,
comme inhérentes à la condition humaine, antécédentes à toute histoire
personnelle, ou comme justifiées au nom de l'éducation, de l'amour, de la
sécurité, du rendement, de l'économie, etc., alors qu'elles ne sont ni
« naturelles », ni légitimes. Quant est ce que nous allons le
comprendre.
Ø La violence psychologique :
Insultes ou sarcasmes humiliants traitant la
victime de nulle, paresseuse, grosse, laide ou stupide, lui dicter comment elle
doit s'habiller ou de lui confisquer les enfants, la
surveillance et la jalousie sans fondement.
Ø Abus économiques :
Retenir ou prendre l'argent de la victime,
dépenser de façon frivole alors que les enfants ont besoin de choses
nécessaires, faire tous les achats importants, l’empêcher d'avoir accès aux
comptes.
Ø La violence sexuelle :
Avoir des relations sexuelles forcées, l'obliger à participer à des actes sexuels déplaisants ou douloureux,
l'exposer au SIDA ou à d'autres maladies sexuellement transmissibles.
Ø violence physique :
C’est le type de violence le plus
fréquent au Niger et partout. A titre d’exemple gifler la victime, lui donner des volées
de coups de poing ou de coups de pieds, la brûler,la pousser en bas des
escaliers, la frapper ou la couper avec un couteau ou la frapper avec un objet.
Pour d'autres hommes une gifle n'est qu'une caresse à la vitesse de la lumière.
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